...Les prêtres
 

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La brutalité allemande va atteindre son paroxysme rue Courbet au domicile de l'abbé Cousin.

Les allemands sont chez un voisin, Charles Descamps. Ils ont fracassé sa porte et sans ménagement l'amènent vers la rue.

Alerté par le bruit, l'abbé Cousin se précipite et veut s'interposer.

Ces soudards déchaînés se ruent alors sur ce pauvre prêtre qui n'a que sa compassion à offrir.

Ils lui brisent les bras, les jambes, lui fracassent le crâne et l'achèvent d'un coup de revolver.

Quant à l'abbé Gilleron, c'est le pasteur que les allemands cherchaient. Dès qu'il fut trouvé, à son presbytère rue Marceau, il fut abattu à bout portant et achevé d'une balle dans l'oreille.

Le reste de la population eut son compte... de Jean Roques (15ans) à Pierre Briet (75ans), des hommes de tous âges furent conduits à la mort.

Certains jeunes échappèrent cependant à ce sort tragique comme André Baratte, 15 ans à l'époque. Sa soeur se souvient d'un allemand lui demandant son âge et disant "scout, coucher".

Sur la photo, on peut voir les abbés Gilleron (au centre à gauche) et Cousin. Jean Roques est au milieu de la photo entre les prêtres, André Baratte à l'extrême droite.

  Avril 2004 / SHE / Villeneuve d'Ascq