droits
de l'homme qui indique : "Nul ne
peut être puni que pour une faute qu'il a lui-même
commise".
Le
6 Août, 8 des neuf inculpés sont condamnés à la peine de
mort. Le dernier est condamné à une peine de 15 ans de travaux
forcés.
Les
huit autres soldats identifiés comme auteurs du massacre
et absents du procès, parmi lesquels l'aspirant-adjudant
Jura et l'adjudant-chef Buss, sont condamnés à la peine de
mort par contumace.
De
proches parents des massacrés font une demande de grâce
au président
de la république. Le 15 juillet 1955, le décret
de grâce est
signé et le lieutenant Hauck sera libéré en
1957.
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