Puis
ils étaient amenés près du train. Les plus âgés, qui ne pouvaient
courir, étaient frappés d'un coup de crosse.
Des
femmes furent aussi amenées et assistèrent horrifiées au
début du massacre avant qu'un soldat ne les renvoie chez
elles.
Une
mitrailleuse était en batterie sur le train et les soldats
avaient leur fusil armé.
Les
malheureux savaient à ce moment quel allait être
leur sort.
Certains,
voulant s'enfuir, sautaient à travers champ. |