Gabriel
Hétuin, président
de "ceux du dernier peloton" et Isidore Hofman,
le maire d'Ascq.
Reconnaissants
de l'action de "l'homme du 18 juin", les habitants
de la ville se pressent en nombre sur le passage des personnalités.
Ascq
devient l'un des pélérinages de la mémoire
douloureuse de la seconde guerre mondiale. Et c'est le chef
de la France libre qui, le premier, fait ce pélerinage.
Au
tertre des massacrés, il dépose une immense
croix de Lorraine en fleurs.
Tout
un symbole. |